lundi, octobre 26, 2009

Le vinyle n'est pas en crise

C'est quand même fascinant de voir le format vinyle attirer encore autant d'intérêt en plein coeur d'une époque où la dématérialisation est reine. Beaucoup d'artistes émergents du Québec lancent leur disque en version 33 tours -- en quantité limitée pour des raisons financières, mais quand même. Souvenez-vous du disque d'Orange orange, le EP de Plaza Musique, Les Breastfeeders, Malajube, We Are Wolves... La dernière en date à faire paraître une édition vinyle de son "long jeu" est Coeur de pirate -- c'est presque une habitude chez Grosse Boîte, et pas une mauvaise.

J'attire votre attention sur un texte paru ce week-end de mon collègue journaliste Philippe Renaud, de La Presse, qui dresse un portrait de RIP-V, une jeune entreprise de Saint-Lambert, qui est devenue depuis le printemps dernier l'unique fabricante de disques vinyles au pays.