Dans quelques heures, je prends l'avion en direction de Paris pour rencontrer le chanteur Bénabar. À l'invitation de sa maison de disque Sony, bien sûr. Le Devoir, qui n'a pas l'habitude de ce genre d'entente (appelées junkets dans le milieu), a cru bon m'y envoyer. L'entrevue, que l'on aurait fait au téléphone, ne sera que meilleure. J'aurai droit à une trentaine de minutes, ce qui est beaucoup si l'on compare aux vedettes hollywoodiennes, qui offrent souvent 2 ou 3 minutes à peine aux journalistes. Et en plus j'aurai la chance de voir son spectacle aux Folies Bergères, une institution dans le domaine du spectacle.
Bénabar a lancé en octobre un nouvel album, intitulé Reprise des négociations. Il sera lancé au Québec le 7 mars. Des extraits sont disponibles sur son site.
Je vous en reparle dans les prochains jours, avec quelques détails de coulisses croustillants et des trucs hyper-glamour.
jeudi, février 23, 2006
Il est 5 heures, Paris s'éveille
Publié par
Philippe Papineau
à
11:03 a.m.


