-- Paul Cargnello: Sa langue maternelle est l'anglais, mais depuis ses deux derniers albums, le Montréalais Paul Cargnello s'est mis à la langue de Molière, au grand plaisir de ses admirateurs. Éternel révolutionnaire, Cargnello a tendance à se faire moins prêcheur avec les années, ce qui n'est pas pour nous déplaire. Connu pour son succès Une rose noire, le guitariste passionné de la Nouvelle-Orléans a tout de même six albums à son actif, en solitaire ou avec son groupe, The Frontline. Une bonne dose de rock et de blues, parfois métissée de musique worldbeat. - Aux portes du Complexe Desjardins, ce soir à 19h et à 22h.
-- Keith Kouna: La voix et la plume derrière la défunte formation Les Goules fait maintenant cavalier seul, depuis plusieurs mois. Le personnage sympatico-cinglé à la voix nasillarde et perçante a fait paraître Les Années Monsieur, où on reconnaît son amour de l'absurde et de l'étrange. Il joue avec les mots, les répète, les triture, les déforme. Keith Kouna a un fort côté rock, mais sait poser sa voix sur des pièces plus douces. Le tout peut être déstabilisant, mais des pièces comme Brillantine ou Oublie ça -- une traduction libre de Laisse béton de Renaud -- sont fortes et accrocheuses. À l'angle des rues Président-Kennedy et Jeanne-Mance, ce soir à 20h.
-- Ariel: Deux des quatre formations de l'édition 2009 des Francouvertes qui se sont taillé une place dans le coeur des organisateurs des FrancoFolies jouent ce soir. À commencer par le grand gagnant de cette 13e édition du concours, Ariel, déjà signé sur l'étiquette Tacca. Mené par son chanteur Ariel Coulombe, le groupe offre un rock énergique et noir, quelque part entre The Hives et Caféïne, avec une touche rétro. Ça ne réinvente pas la roue, mais sur scène, Coulombe est intense et très charismatique, quelque part entre Alice Cooper et Mick Jagger. Pas étonnant donc que la formation ait mené toutes les étapes des Francouvertes. À l'angle des rues Sainte-Catherine et Jeanne-Mance ce soir, à 20h
-- Lac Estion: L'autre recrue des Francouvertes est Lac Estion. Cousin de la fesse gauche de la formation Le Roi poisson, Lac Estion se distingue par une force mélodique surprenante. Si les textes sont parfois simples, le quintette a réussi à atteindre un bon dosage entre le folk, le rock et le prog, le tout soulevé par la voix juste un peu rocailleuse du chanteur Simon Kingsbury, qui peut rappeler celle de Louis-Jean Cormier. Sur l'Esplanade de la PdA, demain, à 21h.
-- Keith Kouna: La voix et la plume derrière la défunte formation Les Goules fait maintenant cavalier seul, depuis plusieurs mois. Le personnage sympatico-cinglé à la voix nasillarde et perçante a fait paraître Les Années Monsieur, où on reconnaît son amour de l'absurde et de l'étrange. Il joue avec les mots, les répète, les triture, les déforme. Keith Kouna a un fort côté rock, mais sait poser sa voix sur des pièces plus douces. Le tout peut être déstabilisant, mais des pièces comme Brillantine ou Oublie ça -- une traduction libre de Laisse béton de Renaud -- sont fortes et accrocheuses. À l'angle des rues Président-Kennedy et Jeanne-Mance, ce soir à 20h.
-- Ariel: Deux des quatre formations de l'édition 2009 des Francouvertes qui se sont taillé une place dans le coeur des organisateurs des FrancoFolies jouent ce soir. À commencer par le grand gagnant de cette 13e édition du concours, Ariel, déjà signé sur l'étiquette Tacca. Mené par son chanteur Ariel Coulombe, le groupe offre un rock énergique et noir, quelque part entre The Hives et Caféïne, avec une touche rétro. Ça ne réinvente pas la roue, mais sur scène, Coulombe est intense et très charismatique, quelque part entre Alice Cooper et Mick Jagger. Pas étonnant donc que la formation ait mené toutes les étapes des Francouvertes. À l'angle des rues Sainte-Catherine et Jeanne-Mance ce soir, à 20h
-- Lac Estion: L'autre recrue des Francouvertes est Lac Estion. Cousin de la fesse gauche de la formation Le Roi poisson, Lac Estion se distingue par une force mélodique surprenante. Si les textes sont parfois simples, le quintette a réussi à atteindre un bon dosage entre le folk, le rock et le prog, le tout soulevé par la voix juste un peu rocailleuse du chanteur Simon Kingsbury, qui peut rappeler celle de Louis-Jean Cormier. Sur l'Esplanade de la PdA, demain, à 21h.